- limite de 10 séances ;
- transmission systématique du bilan et du compte-rendu au médecin et au patient ;
- Pour les CPTS, l’inscription des modalités de prise en charge dans le projet de santé de la structure ;
- Prendre prioritairement en charge les patients atteints d’affections de longue durée.
Cet article est complété par l’article 2 bis qui permet au kinésithérapeute de prescrire de l’activité physique adaptée (APA) : « Il est également habilité, dans le cadre du parcours de soins des personnes atteintes d’une affection de longue durée ou d’une maladie chronique ou présentant des facteurs de risques et des personnes en perte d’autonomie, à prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient. »
L’accès direct au kinésithérapeute est une mesure indispensable pour améliorer l’accès aux soins en s’appuyant sur des professionnels de santé responsables, bien formés et autonomes. Il permettra de libérer du temps médical indispensable dans un contexte de pénurie de médecins, également victimes de cet état de fait. c’est un outil pour lutter contre les déserts médicaux. Les soins dispensés seront justifiés par le bilan kinésithérapique et un compte-rendu des soins réalisés transmis par le kinésithérapeute au médecin traitant via l’espace numérique de santé.
Mardi 10 janvier 2023 la commission des affaires sociales a adopté cette PPL
Le 19 janvier, l’assemblé a validé cette proposition dans l’hémicycle.prévoit l’accès direct aux kinésithérapeutes exerçant en structures de soins coordonnés
L’espoir est grand.